Le Laboratoire CSBS ODEMER a toujours eu pour but de proposer du plasma marin accessible à tous et de la meilleure qualité possible. C’est pourquoi, dans une démarche de transparence et de sincérité, nous vous livrons nos critères de qualité et nos secrets de traitement, d’analyses et d’embouteillages de l’eau de mer Sea-AquaCell’s.

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LE LIEU DE POMPAGE

Le Laboratoire CSBS ODEMER a choisi de pomper son eau de mer dans la baie de Saint-Malo, qui bénéficie des bienfaits des zones environnantes Natura 2000 bordant Saint-Malo, non loin de la Côte d'Émeraude. Cela garantit la qualité du Plasma Marin Sea-AquaCell’s et permet au CSBS ODEMER d’être la seule entreprise française à maîtriser une chaîne de production et de distribution 100% Made in France.

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Quels sont les critères à remplir pour une eau de mer de qualité ?

  •    Le lieu de pompage doit être riche en phytoplancton

La magnifique couleur de la Côte d’Émeraude assure la présence d’une abondance de phytoplancton actif absolument indispensable pour avoir une eau de mer d’excellente qualité. De plus, l'archipel de Saint-Malo est classé zone environnantes Natura 2000, ce qui aide à la préservation de la biodiversité, valorise le patrimoine naturel et permet l’expansion du développement durable. 

La Côte d’Émeraude est un patchwork d’habitats. Ces divers écosystèmes jouent un rôle structurant pour le milieu marin au travers des fonctions écologiques qu’ils assurent (nourricerie, frayère, alimentation, sites de vie, d’abris ou de repos, reproduction, etc.) mais également un rôle dans la diversité des espèces marines qu’ils hébergent.

  • Le sous-sol marin doit être sain et les courants marins forts

Dans le Golfe Normand-Breton, les courants de marée intenses et les faibles profondeurs provoquent un brassage continuel des eaux. De plus, il se distingue du reste de la Manche par l’existence de gyres. Les gyres sont des courants circulaires ou cellules tourbillonnaires qui se forment autour des archipels et des îles. Ces gyres qui résistent aux différentes situations météorologiques et aux vents changeants, sont permanentes. Les formations tourbillonnaires soutiennent le phytoplancton dans des eaux moins profondes lui permettant ainsi de bénéficier de beaucoup de soleil pour alimenter sa croissance.

De plus, la Manche de Cherbourg à Brest est une petite mer avec le Mont Saint-Michel, les îles de Jersey et de Guernesey. Les marées sont d’un peu plus de 6 heures de montée et 6 heures de descente. Avec la distance entre Saint-Malo et Guernesey, soit 60 miles (111 Km), l’eau n’a pas le temps de partir complètement de cette zone.

Elle se met donc à tourner dans un espace entre Cherbourg, Guernesey et Bréhat dans un sens durant 6 heures et dans le sens inverse durant les 6 autres heures. Cela créer un immense vortex naturel. De plus, l’eau tournant depuis des millions d’années sur des fonds granitiques, elle se charge au maximum d’oligo-éléments et de minéraux.

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Pourquoi ne pompe-t-on pas notre eau dans le Golfe de Gascogne comme nos concurrents ?

  •    Le Golfe de Gascogne :

  • Le Golfe de Gascogne est pollué chimiquement et devient au fur et à mesure une zone morte

En effet, le Golfe de Gascogne est en train de devenir une zone morte, soit une eau très peu oxygénée et où la faune marine se fait de plus en plus rare. D’ailleurs, si vous vous y baladez, vous n’y sentirez plus ces embruns iodés tant aimés qui sont pourtant caractéristiques d’un océan en bonne santé. A la différence d’une marée noire, la pollution pétrochimique qui la salit est invisible en cas de mer calme mais vous la remarquerez tout de suite si l’océan s’agite car une mousse brunâtre se forme à la place de l’écume naturelle des vagues.

Edition du 20 Heures de France 2 du Lundi 19 Août 2019 sur la pollution aux détergents du Golfe de Gascogne :

  • Le Golfe de Gascogne devient aussi un cimetière à ciel ouvert de dauphins

Depuis 2016, 4 000 à 9 000 dauphins sont morts dans le Golfe de Gascogne à cause de la surpêche pratiquée dans ces eaux. Les ONG dénoncent ce phénomène depuis des années et demandent l’arrêt de la pêche durant Février et Mars, les mois de migration des dauphins. Mais aucunes mesures n’ont été prises à l’heure actuelle.

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LE TRAITEMENT

Notre Plasma Marin est pompé dans le vortex naturel et permanent de la baie de Saint-Malo. Cette zone est hautement surveillée par l’Ifremer et ne fait pas l’objet de pollutions provenant du trafic maritime. Le vortex balaye d’ailleurs avec force toute possible pollution, aidé de marées dont les amplitudes marines sont les plus fortes d’Europe.

Les deux étapes du traitement :

  • Dès l’arrivée du camion-citerne contenant l’eau de mer, celle-ci est immédiatement déversée dans des contenants spécifiques et prévus à cet effet. Grâce au générateur vapeur utilisé par nos équipes de production, nos unités de filtration sont préalablement nettoyées de façon naturelle sans aucun produit chimique. Cela évite donc d'avoir un quelconque résidu de produit chimique et de pouvoir déverser l'eau de mer dans des cuves impeccables
  • L’eau passe ensuite par les unités de filtration, où une triple filtration à froid, sur deux étapes, est effectuée. Ce traitement garantit le respect du phytoplancton capable de passer au travers de la filtration à 0,20µ. Il n'y a donc pas de montée en température de l'eau de mer, ce qui préserve la présence du phytoplancton. Grâce à ces deux procédés, les potentielles particules de plastiques sont totalement éliminées

     

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LES ANALYSES

L’eau de mer Sea-AquaCell’s est garantie comme respectant le protocole d'origine de René Quinton. Chaque lot d’eau de mer pompé est immédiatement acheminé vers le centre de production. Après sa filtration, un échantillon est directement envoyé à deux laboratoires distincts pour analyses. Les normes européennes tolèrent un certain seuil de présence de coliforme, de levures et moisissures, tout en considérant que l’eau reste conforme à l’hygiène requise pour l’homme. le Laboratoire CSBS ODEMER n’adhère pas à cette largesse ! 

Les lots contenant ne serait-ce que quelques unités de l’un de ces contaminants sont immédiatement refusés et rejetés. Le Laboratoire CSBS ODEMER a une tolérance zéro concernant les altérations possibles du plasma marin. Quand un lot est rejeté, l’information est immédiatement transmise à nos équipes de production. Celles-ci doivent alors de nouveau pomper et attendre les résultats d’analyse du nouveau lot avant d’embouteiller l’eau de mer. 

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L'EMBOUTEILLAGE

Le Laboratoire CSBS ODEMER a choisi des bouteilles en verre non teintées car à l’heure actuelle, il n’existe aucun plastique capable de résister à l’eau de mer. Des chercheurs de l’Ifremer ont démontré que l’eau de mer est capable de démanteler tous les polymères (résine à base du plastique) quels qu’ils soient, aussi solides soient-ils. Donc à partir du moment où l’eau de mer est entreposée dans un contenant en plastique, une lente dégradation démarre. 

Ce démantèlement des polymères va jusqu’à transformer les macrodéchets en nanoparticules de plastique. Il est donc fortement dommage d’altérer les bienfaits du plasma marin sur notre corps à cause de la présence de milliards de particules nanoscopiques de plastique à l’intérieur.

  • Le verre est un matériau neutre

Le verre est le plus neutre et le plus naturel des matériaux d’emballage. Il préserve ainsi les saveurs et permet d’apprécier pleinement le goût authentique de l’eau de mer. Il ne prend pas d’odeur. Ce démantèlement des polymères va jusqu’à transformer les macrodéchets en nanoparticules de plastique. Il est donc fortement dommage d’altérer les bienfaits du plasma marin sur notre corps à cause de la présence de milliards de particules nanoscopiques de plastique à l’intérieur.

  • Le verre est un matériau naturel

Le verre se compose de minéraux naturels : du sable, du calcaire et du carbonate de soude. Il est le matériau idéal pour la conservation de l’eau de mer grâce à sa neutralité et sa stabilité. Inerte et inaltérable, le verre résiste à la corrosion des sels minéraux. Ces résistances naturelles font du verre un matériau sain. Il est donc la réponse idéale à nos exigences d’emballage pour l’eau de mer.

  • Le verre est un matériau sûr

A l’inverse du plastique qui, quel que soit la technologie employée ne résiste pas à l’eau de mer, le verre est pur, il est imperméable et non-réactif. Il permet donc une meilleure conservation du plasma marin. Contrairement au plastique, le verre ne contient pas de Bisphénol ni aucun autre composé chimique nocif pour le corps humain.

  • Le verre est un matériau écologique

Matériau écologique par excellence, le verre est le seul matériau d’emballage recyclable à 100% et à l’infini ! Il était donc logique pour CSBS ODEMER de le choisir.

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L’EMBALLAGE & LE TRANSPORT

Le Laboratoire CSBS ODEMER met tout en œuvre pour que le transport de votre eau de mer soit garanti et de qualité. C’est pourquoi nous sommes en partenariat avec Rapid’ Transports et UPS pour le transport. Nous avons fait le choix d’un emballage cartonné qui s’est basé sur des critères de résistance et de respect environnemental. Nous avons travaillé dans le but de réduire notre circuit de production afin d'être 100% éco-responsable : tous nos produits sont emballés et expédiés depuis Saint-Malo.

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